Esther Koudjenoume

Au Bénin , le baccalauréat session de juin 2019 a eu lieu ce jour 19 juin . Le baccalauréat a eu belle et bien lieu. Malgré les manifestations qui ont secoué le pays la semaine dernière, la session unique du baccalauréat session de juin 2019 a été lancé ce jour sur toute l'étendu du territoire national. Cette année, ils sont  100.017 candidats répartis dans 142 centres de compositions. Notre équipe de reportage a sillonné quelques collèges  de Cotonou pour constater l'effectivité du démarrage des épreuves.  Il sonnait 12 heureds15 minutes. Au collège d'Enseignement Général de Houeyiho, c'était la pause , la fin de la composition de la première épreuve. Les candidats récréaient.   Le chef centre Irman Lanignan affirme " Le CEG de Houyiho est un centre de 35 salles. 1050 candidats étaient  attendus mais 1016 ont réellement composé,donc 34 absents. Les épreuves étaient lancées à 8 heures 00. On ne note aucun incident (pas de cas de retar

Aurelien Bodinauxet Joel Karekezi Joël   Karekezy  l'auteur , réalisateur et Aurelien Bobinaux le scénariste, producteur ont donné un master classe le 15 juin 2019 à l'Institut Supérieur des Métiers de l'audiovisuels (ISMA). Le master cla sse portait sur le montage et conduite d'un projet de film à succès mondial : dans les coulisses du film ‘‘The Mercy of the Jungle ". C'était un grand rendez-vous du savoir. Dans l'après midi du samedi dernier, une fine pluie arrosait le prestigieux immeuble bleu-blanc de l'Institut Supérieur des Métiers de l'audiovisuels. Sise à Fidjrossè, à cent mètres de la plage, c'était ce joyaux qui a abrité l'événement .L’accès était gratuite et réservée pour toute la communauté des cinéastes et vidéastes du Bénin . La salle était remplie. Prévu pour 15 heures , il démarra effectivement à 15 heures 20 par la projection du making off du fil m The mercy of the jungle. Il s'agissait en réalité du dé

LA SOUDURE UN METIER A RISQUES Ils sont nombreux à choisir le métier de soudure. Installés dans presque tous les coins de rues de Fidjrossè à Cotonou, les soudeurs courent de nombreux risques en exerçant ce métier au quotidien. Il sonnait 13 heures 15 minutes dans l’après-midi du mardi du 31 Mai 2019. Le soleil balayait la capitale économique qu’est Cotonou. Un tour dans un atelier de soudure sise à Fidjrossè en allant vers la plage. Ils sont affairés, et surtout concentrés, apprentis et maître soudeur. C’est une équipe de cinq personnes.  Devant l’atelier est installée  au rayon de soleil pour séchage, une porte métallique neuve fabriquée. Sur  la véranda de l’atelier  se trouve  un apprenti qui coupe du fer à l’aide d’une scie. A Côté un autre apprenti donne des coups de marteau au un fer pour le façonner. De l’autre côté de l’atelier on retrouve un monsieur grand qui donne des instructions et qui apparemment supervise le travail : c’est le maitre soudeur. «